L'exposition à pour principe d'être "en progression" ("work in progress" en français), L'accrochage des grands portraits se trouve enrichi des vingt-cinq petits portraits d'élèves du lycée français de Brasilia
Le soir des "Adieux de l'artiste" (mais bien avant la fin de l'exposition qui dure jusqu'au 10 juillet), je performe encore! Une peinture de deux mètres sur deux environ, en collaboration avec les musiciens de Projeto Macaco", très bon rock de Brasilia (qui en est la capitale au Brésil).
Je compose avec leurs visages et l'ambiance musicale. L'éloignement de l'europe m'autorise à travailler un peu différement. Les kilomètres parcourus ont donc un sens!
Le résultat :
L'accrochage est complété par un autre nouveau grand portrait et de la peinture "performative".
Avant , passage à Salvador de Bahia. Au farol de Bara
Dans la pousada Noa Noa, chambre Gauguin ! avec vue sur l'océan, le phare… (géographiquement ça n'est pas tout à fait cohérent, mais l'ambiance, tout de même)
L'elevador, qui donne permet de descendre dans la ville basse.
Cette petite plage ville basse, près du musée d'art moderne, donne en fait dans une Favela
Puissance de la nature, toujours…
Ici les pigeons sont différents…
Chez le barbier avant l'exposition
Le climat est tropical, pas de doute…
Devant le musée des sciences naturelles
Les symboles de la spiritualité Chrétienne ne sont pas très lègers, mais impressionants,
beaux parfois, avec les azulejos portugais,
Ou bien tout simplement terrible, pour ne pas dire horrible… L'église fait passer un message (on voit bien lequel) et foin d'esthétisme.
Heureusement ça en devient presque drôle : éthymologie de "Roquet"?
Retour à l'humain, ouf!
à l'arrêt de bus, où qu'il soit, la scénographie se fait naturellement,…
Un fabriquant de chinelo (les tongues, donc)
Adeus, ate mais!